J’irai dormir chez vous en Asie cet été

L’aventurier, Explorateur des temps modernes maintenant très connu, le dénommé Antoine de Maximy voyage autour du monde à la rencontre des habitants des régions les plus reculés du Monde, la où on l’attends le moins. Équipé de deux caméras, dont une spécialement crée pour l’émission, qu’il porte à l’épaule de manière à se filmer lors de ces différents périples. Antoine a pour objectif de se faire inviter chez l’habitant afin d’apprendre leur manière de vivre et à mieux connaître leur culture.

France 5 rediffuse cet été 4 épisode sur l’Asie, dont L’Inde, La Chine, le Japon et le Cambodge ( la Corée du sud est prévu pour la saison 2011 !! )

Résumé des différents pays :

Inde : Antoine de Maximy parcourt la péninsule indienne. Après avoir échappé avec humour aux rabatteurs à touristes, il rencontre au bord du Gange un employé du train à la retraite qui vit dans un temple. Il sera finalement hébergé par la famille d’un vieux médecin homéopathe. A Bombay, aujourd’hui appelée Mumbai, il se fait entraîner pendant des heures à travers la ville par un individu qui lui propose de l’héberger… jusqu’à ce que les rôles s’inversent : tard dans la nuit, c’est finalement cette personne qui demande si Antoine peut l’inviter à dormir. A Trivandrum, Antoine est sceptique quant à la nourriture qu’on lui offre. Au beau milieu de la campagne environnante, il se retrouve dans un village isolé, où personne ne parle l’anglais. Alors que la situation semble désespérée, un pasteur accepte de l’héberger pour la nuit.

Chine : Après un vol Paris-Pékin, il se rend sur la Grande Muraille de Chine, dans les endroits les moins touristiques. Il ne parle pas un mot de chinois et a juste noté une phrase clé : “Je vais dormir chez toi.” Dans un restaurant, il se mêle à un groupe en train de déjeuner. l’un des convives accepte de l’accueillir et, avec toute sa famille, lui apprend à fabriquer des raviolis.Le réalisateur filme ses rencontres en temps réel, le téléspectateur partage ses rires, ses désarrois ou ses doutes et constate les réactions de ses interlocuteurs. En Chine, c’est un peu le choc des cultures ; chaque discussion est l’occasion de parler des us et coutumes d’ici et de là-bas. Entre chaque étape, les images du périple se juxtaposent sur l’écran, comme un carnet de voyage.Antoine de Maximy et sa caméra A Shanghai, notre globe-trotteur s’éloigne des grandes artères. Dans les ruelles, il suit un caniche blanc aux oreilles teintes en rose, un jeune homme le convie à dîner mais ne pourra l’héberger, faute de place. Il sera plus chanceux avec trois étudiants. Il découvre avec surprise que la chanson d’Hélène et les garçons connaît ici un vrai succès ! Il décide enfin de rejoindre le monastère de Kumbum, au coeur de la campagne chinoise.La barrière linguistique donne lieu à des échanges comiques et le rire se révèle souvent un bon moyen de communication. Après une journée passée au champ, Chang Mei, une villageoise souriante, lui offre un toit. Antoine de Maximy propose un joli album de séquences et un aperçu original de ce pays

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Japon : Au « Pays du Soleil Levant », il n’est pas d’usage d’accueillir ses amis chez soi, et encore moins les étrangers. La partie va donc être difficile pour Antoine de Maximy. « Voyageur à l’improviste », confronté à la barrière de la langue et aux idéogrammes japonais, il bouscule toutes les convenances. De Tokyo à la plage des surfeurs de Shinoda, sa détermination optimiste va provoquer bien des situations cocasses et nous fait découvrir un peuple étonnant, toujours prêt à rendre service.

Cambodge : Antoine se rend tout d’abord aux temples d’Angkor. Un rapide tour d’horizon lui apprend que ce n’est pas le meilleur endroit pour rencontrer les autochtones. Il se dirige alors vers le bord du lac où les gens vivent sur de petites barques et des maisons sur pilotis. Une famille est en deuil. Il a la surprise d’être invité à l’enterrement et passe la nuit sur le bateau.Puis il se dirige sur Battambang, une des plus importantes villes du pays où il rencontre une équipe de démineurs. C’est là qu’il goûte une boisson locale au fond de laquelle repose une quarantaine des mygales.Mais il trouvera l’hospitalité dans un monastère où il passera la soirée avec de jeunes moines branchés sur internet.Son périple s’achève à Ban Lung, près des frontières du Laos et du Vietnam. Cette petite ville est déroutante. C’est la saison des pluies et les rues qui ne sont pas goudronnées sont envahies par la boue. On dirait une ville minière de la fin du XVIII ème siècle.Antoine décide de louer une moto pour atteindre des endroits plus reculés. Dans un hameau, il tombe face à Tong, un vieillard au sourire lumineux. Aucune communication n’est possible et c’est par la musique qu’Antoine établira le contact avant de se faire accepter par la communauté.

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Indonésie : Antoine débarque à Bali en Indonésie. Il délaisse vite la ville grouillante de scooters pour le centre de l’île ! Avec son curieux attirail, le globe-squatteur fait une entrée remarquée dans le marché de Baturiti. L’ambiance est excellente, au point qu’un groupe de marchandes l’invite spontanément à prendre un café chez elles ! Puis, il se fait surprendre par la pluie. Antoine demande l’hospitalité pour la nuit. Il découvre un adorable ensemble de foyers, un mini temple, des jardins verdoyants… et une grande famille dévorée de curiosité. Leur référence culturelle occidentale : Mr. Bean !Antoine se dirige ensuite sur Surabaya, la deuxième ville du pays après Jakarta. Il rencontre Stefan, un jeune businessman aux dents longues qui l’entraîne dans ses multiples rendez-vous avant de l’accueillir chez lui.Ensuite Antoine se rend en Papouasie- Occidentale, à Wamena, dans le but de rencontrer des Papous. Certains se promènent en ville presque nus avec leur étui pénien. Il constate que les commerces sont tenus par les Indonésiens alors que les Papous vivent dans des conditions bien plus précaires. Au bord de la route, il aperçoit des femmes lavant des légumes dans la rivière. Elles se moquent gaiement de lui. Il les suit dans leur hameau. Formidable rencontre. Antoine découvre leur vie, leur chants et la coutume des doigts coupés. Il ressent aussi leurs contradictions. Celles d’hommes tiraillés entre leurs traditions et la modernité.

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